Enfin !

Jour J. En vrai J+360. Car voilà un an que j'y suis, ou presque. Le titre du blog date d'il y a un an, à l'époque j'étais fraîchement chômeur et j'ai naivement pensé que j'écrirai un journal du chômeur au cas où une paire d'yeux égarés aurait une minute à perdre.

Seulement voilà, ce temps de chômage n'a pas duré et deux mois après mon coup de foudre avec Madame Assedic, je me séparait d'elle sans quelques courriers indispensables mais tellement frustrants.

Cet espoir déplacé et ironique de la retrouver m'est revenu car l'expérience qui m'amène ici aujourd'hui a tourné court moins vite que je l'eus cru. Je tâcherai d'être succint et clair pour retracer rapidement un "pitch" de comment j'en suis arrivé là (une prochaine fois)

J'ai arrêté de travailler en début de ce mois de décembre. Les papiers pour m'inscrire sont arrivés semaine dernière (alors que j'étais parti quelques jours en Italie pour changer d'air et finir quelques cadeaux de Noël). Mais malheur, mes identifiants et codes de l'an passé ne fonctionnent plus chez Mme Assedic. Et vendredi dernier, à 14h elle était déjà à faire ses paquets. Me restait à attendre la fin de ce long WE de fêtes et la contacter dès son retour, fraîchement sortie des foies gras et bûches givrées. Chose faîte ce matin même, attribution d'un nouvel identifiant (cette clé magique pour accéder à ses offrandes) et elle m'invite vendredi prochain pour prendre un verre d'apéro chez elle. (D'ailleurs elle a déménagé comme moi à Paris cette année, c'est qu'elle gagne bien alors).

Nous évoquerons le bon temps, nous nous raconterons notre Noël et échangerons un peu en retard des petits cadeaux (une petite carte pour un peu de bonne humeur). Et puis vogue, vogue.

A bientôt et passe ton chemin, reviens donc demain.